Overblog Tous les blogs Top blogs Beauté, Santé & Remise en forme Tous les blogs Beauté, Santé & Remise en forme
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
MENU

Il y a quelques jours au téléphone avec mon ami Mitra, j’apprends qu'il est malade... et voilà que deux jours plus tard, je tombe malade aussi. Peut-être parce que je l'aime bien et que j'ai voulu me montrer solidaire 😄... ou bien, peut-être que j'avais un peu fait le malin en parlant de ma guérison des douleurs lombaires par des moyens intérieurs 😄. J'étais tellement content que je voulais le partager... mais avec le recul, cela m'a montré que ce n'était pas samata, la parfaite égalité, indifférent à la bonne santé et indifférent à la maladie. La conscience ne devrait ni s'emballer si ça va bien ni s'alarmer si ça va mal.

J'ai pris la chose comme une occasion d'observer et d'expérimenter différentes approches de guérison.

Premier jour

1. L'équanimité n'est pas encore-là, à certains moments, la conscience est très troublée, très agitée...

2. Le premier jour, j'ai pratiqué quelques exercices de qi gong et le japa en marchant et dans les deux cas, j'ai observé une amélioration, un apaisement des symptômes. Pour les justifications, en médecine chinoise, la maladie est vue comme une énergie perverse qui attaque le corps ; j'ai donc pratiqué pour amener un surplus d'énergie positive. Et puis, Mère a raconté à plusieurs reprises qu'elle avait commencé le japa fatiguée, tout à fait mal fichue et qu'après elle était toute rafraîchie, ragaillardie... surtout en faisant le japa en marchant explique-t-elle car cela donne une énergie physique au japa.

Lien vers le premier japa de Mère

Pour le japa, les débuts ont été assez drôle en ce sens qu'il y avait une telle agitation, un tel désordre dans mes énergies que je commençais une prière, continuait par une autre, revenait à la première, une incapacité de se concentrer. Vers le milieu seulement la conscience a commencé à se calmer... Le tout aura duré environ une demi heure. 

3. Je donne aussi régulièrement l'ordre au corps de fabriquer les substances nécessaires à sa guérison. Le plus souvent, je donne l'ordre à la glande pinéale d'ordonner aux glandes endocrines de fabriquer les substances dont le corps a besoin pour guérir. Et parfois, c'est accompagné d'une sensation... alors est-ce que cela marche, est-ce que cela contribue à la guérison ? Je n'en ai pas la preuve mais je sens que c'est juste de le faire. 

4.Le nettoyage du nez a aussi fait du bien :

Deuxième jour

L'équanimité de la conscience observatrice est plus stable... même si j'observe encore des phases d'agitation, lors des crises, crises d'éternuement, crises de toux... et autres symptômes.

C'est surtout allongé dans mon lit que j'ai pu observer plusieurs choses intéressantes, mais voyons ce passage de L'Agenda du 31 janvier 1961 :

(A propos de l’expérience relatée le 24 janvier, de la Force supramentale qui réorganisait l’action de chaque centre de conscience. L’expérience s’était terminée par une transe profonde : «j’ai coulé dans la transe...»)

J’avais oublié de dire quelque chose de très important.

Au moment où je suis revenue de la transe, j’ai eu une perception très concrète, positive (pas une compréhension mentale : ça ne venait pas de cette partie intellectuelle de l’être qui comprend tout et explique tout, et qui, je crois, est symbolisée par Indra – pas cette intelligence supérieure ; ça ne passait pas par cela du tout, ce n’était pas mental). Il y avait une sorte de perception (ce n’était pas vraiment une sensation : c’était plus qu’une sensation), une sorte de perception du manque presque total d’importance de l’expression matérielle, extérieure, qui traduit l’état du corps : que les signes extérieurs, physiques, soient comme ceci ou comme cela, de cette façon-ci ou de cette façon-là, c’était absolument indifférent à cette conscience du corps (c’était la conscience du corps qui avait eu l’expérience de l’identité). Cette conscience du corps avait la perception de l’extrême relativité de l’expression la plus matérielle.

Je traduis pour me faire comprendre (mais ce n’était pas comme cela au moment de l’expérience) : admets, par exemple, qu’il y ait un désordre dans le corps ici ou là (pas positivement une maladie parce que la maladie implique quelque chose d’intérieur qui est important : une attaque, la nécessité d’une transformation, beaucoup de choses différentes), mais l’expression extérieure d’un désordre ; par exemple, des jambes enflées ou un foie qui fait mal (pas une maladie : un désordre, un désordre dans le fonctionnement). Eh bien, tout cela était absolument sans importance : ça ne change en rien la conscience vraie du corps. Tandis que nous avons l’habitude de penser que le corps est très troublé quand il est malade, quand quelque chose ne va pas – ce n’est pas cela. Il n’est pas troublé comme nous le comprenons.

Mais alors, qu’est-ce qui est troublé, si ce n’est pas le corps ?

Oh ! c’est le mental physique, c’est cet imbécile de mental ! C’est lui qui fait tout, tous les embarras, toujours.

Ce n’est pas le corps du tout ?

Mais non ! le corps est très endurant.

Mais qu’est-ce qui souffre, alors ?

C’est aussi à travers ce mental physique, parce que si on calme cet individu, on ne souffre plus ! C’est justement ce qui m’est arrivé.

N’est-ce pas, ce mental physique se sert de la substance nerveuse ; si on retire ça de la substance nerveuse, on ne sent plus. C’est ça qui donne la perception de la sensation... On sait qu’il y a quelque chose qui ne va pas, mais on ne souffre plus [1].

[1]. Le fragment que nous encadrons ici fait partie d’un développement ultérieur (du 4 février).

(Alors c'est entendu, en ce qui me concerne, c'est une maladie, j'ai froid, je tousse, j'ai l'énergie d'un petit vieux... mais à certains moments de mon observation, il m'a semblé percevoir que tous les symptômes désagréables se déroulaient sur une certaine couche de conscience, et qu'en dessous, le corps était tout à fait tranquille.)

Ça, c’était très important, c’était une expérience très importante. Et je me suis aperçue après, petit à petit (surtout à partir d’hier après-midi et ce matin) que cette espèce de détachement indifférent est la condition essentielle pour que l’Harmonie vraie puisse s’établir dans la Matière la plus matérielle – la Matière la plus extérieure, la plus matérielle (Mère pince la peau de ses mains).

Cette expérience a été comme une étape – une étape indispensable pour cette espèce de complet détachement ; une étape indispensable pour que l’harmonie de la conscience corporelle (n’est-ce pas, avec cette expérience divine qu’elle a eue) puisse avoir son effet sur la partie la plus extérieure, la plus superficielle du corps.

(Ainsi, chaque fois que nous avons une sensation désagréable dans le corps, c'est l'occasion pour nous de cultiver ce détachement indifférent...)

(silence)

C’est-à-dire que c’est la suite logique de cette recherche que je faisais depuis longtemps sur la cause des maladies et la façon de les surmonter.

(Tout à l'heure Mère parle de désordre de fonctionnement, et non des maladies, et maintenant elle parle des maladies. Ainsi probablement, ce détachement indifférent semble malgré tout avoir un rapport avec la guérison des maladies.)

Il faut noter cela, parce que c’est important. Ça me paraît d’autant plus important depuis deux jours : il y a eu toute une série d’expériences, et ce matin (ça avait commencé hier soir) je suis arrivée à une certaine conclusion et je me suis aperçue que le point de départ de cela, c’était cette expérience que j’ai eue à la sortie de la transe...

Le reste viendra plus tard.

C’est quand je suis sortie de la transe, à 3 heures du matin. Au moment même où je sortais, je suis sortie avec ça [2] : ça a été le premier contact. J’avais oublié de te le dire parce que cela n’a pris d’importance que tout dernièrement.

[2]. Ça = la perception du manque presque total d’importance de l’expression matérielle, extérieure, qui traduit l’état du corps.

Autres concentrations

Dans mon observation et ma recherche de guérison un autre aspect de l'Agenda m'est revenu en mémoire. Il s'agit de tous ces passages dans lesquelles Mère parle de deux réalités superposées, la réalité vraie et la réalité mensongère. 

Et couché dans mon lit, j'étais concentré là-dessus... alors je ne saurais dire si j'ai réussi à traverser, à entrer dans "l'autre chambre" comme disait parfois Mère... mais il  a eu des périodes assez longues de profonde tranquillité, où je me sentais presque tout à fait bien : plus de toux, plus de difficulté à respirer, la conscience très paisible... Et puis tout à coup, je me remettais à tousser...

Il y avait aussi dans ma concentration intérieure l'influence de ces passages de deux Agendas partagés tout récemment. Ce que dit Mère est très concret, nous pouvons nous débrouiller pour les mettre en pratique... 

Agenda du 5 avril 1967

On sent un malaise (ça vient toujours du dehors, de ceci, de cela, à propos de ceci, à propos de cela; ça vient comme cela), alors immédiatement, immédiatement elles se souviennent. Elles se souviennent, elles disent : «Non ! ce que Tu voudras Seigneur.» C'est ça, leur attitude, une attitude de don de soi si total ! beaucoup-beaucoup plus total, beaucoup plus simple, beaucoup plus charmant que dans n'importe quelle partie de l'être. C'est : «Ce que Tu veux... Toi-Toi-Toi, ce que Tu voudras. Être... (pas être Toi avec l'idée d'agrandissement, mais) se fondre, se couler, disparaître en Toi comme ça.» Et alors : «Mais c'est Toi la réalité !»

Et tous ces mots, ce sont des diminutions. Diminution, non pas de sensation : de conscience – c'est une merveille de conscience comme ça : «Toi-Toi... Mais Toi seul existes, Toi seul Tu es.» Et alors tous les malaises, toutes les douleurs, tout cela disparaît sans laisser de traces. C'est une merveille ! on ne peut pas s'imaginer.

Une fois, Sri Aurobindo a écrit quelque part, après une expérience comme celle-là de la Présence Divine dans l'être, il a écrit : If men knew how marvellous is the way... [si les hommes savaient comme le chemin est merveilleux] But they don't know [mais ils ne savent pas]. Il l'a écrit, je ne peux pas citer parce que je cite de travers, mais il a eu cette expérience : «Si les hommes savaient à quel point c'est merveilleux, ils n'hésiteraient pas une minute.»

🔥

Agenda du 23 novembre 1965

Par exemple, il y a une douleur, un signe quelconque que quelque chose est détraqué dans le corps. Dans la conscience – la conscience –, on est absolument indifférent, c'est-à-dire que vie ou mort, maladie ou santé, c'est l'égalité ; mais si le corps réagit selon sa vieille habitude : «Que faut-il faire pour que ça passe ?» et tout ce que cela comporte (je ne parle pas d'une réaction dans le mental mais ici, dans le corps), la chose s'incruste. Pourquoi ? – Parce qu'il faut qu'elle reste là... (riant) pour qu'on puisse étudier ! Si, au contraire, les cellules ont appris leur leçon et qu'immédiatement elles disent : «Seigneur, Ta présence» (sans mots : l'attitude) – pfft ! ça s'en va.

Il ne sert à rien que la pensée le fasse, que la conscience psychique, même la conscience physique le fassent : il faut que ce soient les cellules qui le fassent. Alors celui qui le fait en pensée dit : «Voilà, je me donne au Divin, je suis prêt à tout, je suis dans un état d'égalité parfaite, et tout de même je suis malade ! alors que croire ?» Ce n'est pas cela. Pour avoir une action ici, immédiate (immédiate, c'est-à-dire ce qui apparaît comme miraculeux, qui ne l'est pas du tout), il faut immédiatement, là où un désordre s'est produit pour une raison quelconque, ça : «Seigneur – Seigneur, c'est Toi ; Seigneur, nous sommes Toi ; Seigneur, Tu es ici.» – Tout s'envole. Une sensation, une attitude – immédiatement, hop ! c'est fini. 

Alors j'appelais, j'invoquais la Présence du Divin dans les Poumons, j'essayais d'éveiller l'aspiration dans les cellules des Poumons... alors je ne peux pas dire que c'était tout à coup une merveille comme le dit Mère... mais c'était tranquille, paisible, sans douleur... et je trouvais que c'était déjà un premier résultat. Et puis tout de même, tout à coup, c'est comme si je m'étais ouvert à un infini céleste...

Cela faisait très longtemps que je n'avais pas eu ce genre de sensation. Avant, pendant une période, c'était presque fréquent. Cela ressemble à l'impression qu'il y a des bouts de cosmos dans le corps. Quand nous regardons le ciel étoilé, on ne voit pas tout le ciel mais un petit bout... et bien, c'est comme si un peu de cette immensité bleu étoilée descendait dans le corps. Ou sans doute que c'est plutôt telle ou telle partie du corps qui s'ouvre à cette immensité céleste. J'ai toujours trouvé étonnant d'avoir cette sensation de ne jamais sortir de mon corps et que cette expérience se passe dans le corps. Mais c'est peut-être l'énergie vitale du corps, ou la conscience du corps... En tout cas, c'est infiniment paisible.  

Et c'est souvent la même chose : essayer de se fondre, que la conscience disparaisse dans cette Immensité... ça ne marche jamais, il y a toujours cette sensation de moi qui reste... Mais Sri Aurobindo a écrit quelque part que ce n'était pas inévitable. Je ne suis sans doute pas prêt. 

🔥

Et puis j'ai fréquemment appelé pour mes poumons, mes bronches, la flamme purificatrice. Et puis, allez savoir pourquoi, je me suis demandé si, en cette circonstance, la purification par l'eau n'était pas préférable. Alors j'ai appelé la pluie d'en haut...

J'aime bien cette parabole de Jésus sur l'Eau vive et j'y vois une concordance avec les Eaux du Véda. Et alors, aussitôt, il y a eu tout autour de ma tête et au-dessus des sensations de gouttelettes sèches très très fines.... qui s'infiltrait dans ma poitrine. Maintenant, je ne ressens plus, mais sur le moment c'était très vivant, très doux... vraiment cela m'a fait pensée à une pluie... 

Alors je me suis concentré sur les bronches et j'ai fait tout mon possible pour laisser les gouttelettes s’infiltrer dans ma poitrine.

Dans la foulée de ces gouttelettes (ou en même temps) il y a eu aussi quelque chose d'un peu étrange. Je me suis mis à respirer tranquillement, consciencieusement par le nez... et l'air qui entrait dans mes narines avait un odeur très particulière : c'était piquant (en médecine chinoise, la saveur piquant est associée aux Poumons)... 

D'habitude, je ne suis pas très sensible aux odeurs mais là, c'était tellement fort, que c'était impossible de ne pas le sentir. Ce n'était pas que piquant ! C'était piquant et... je ne sais comment dire... cela m'a fait penser à la menthe, mais ce n'était pas de la menthe parce que la menthe ça rafraîchit. C'était piquant chaud... surtout à l'expiration, assez chaud même... presque le plus chaud possible et le plus piquant possible pour que je puisse le supporter.  

Je n'ai jamais vécu quelque chose comme ça et j'ai ressenti cela comme une réponse à mes demandes d'être aidé, guidé. Ça c'est... l'effet miroir 🙂... de l'article sur l'intuition. Alors je m'exerce souvent à faire le miroir et j'apprends à recevoir des réponses qui viennent d'en haut. 

Lien vers l'article

Un miroir déformant, c'est peut-être rigolo, cela nous fait des têtes et des corps bizarres, mais ça ne va pas du tout... alors il y a un effort pour être tout à fait neutre, sans préférence personnelle, sans a priori, sans idée préconçue... ce n'est pas si facile. 

Et j'avais le sentiment que cette odeur piquante chaude si forte était un soin pour mon nez... 

Je me plaignais souvent de ne jamais recevoir de réponse : c'était un peu décourageant. Mais si concrètement, nous apprenons à recevoir l'aide d'en haut, nos vies vont devenir très intéressantes... 🙂

Maintenant, les expériences intérieures, c'est une chose, reste à savoir comment cela va se traduire, et se maintenir dans la conscience extérieure ; en tout cas, c'est un bon début...

OM 🙏 Namasté

💗

Quelques heures plus tard, le troisième jour :

Cela va mieux, mais je suis très fatigué et je n'ai aucun courage pour aucune pratique qu'elle quelle soit ! L'aspiration et les concentrations des deux jours précédents ont été assez intenses, et là, j'ai juste envie de m'allonger et de ne rien faire... même pas essayer. 

Après m'être concentré comme ceci, comme cela... il m'est venu tout à l'heure : "C'est ça le chemin, essayer de toutes ses forces... et finalement échouer.... alors nous pouvons nous ouvrir à une autre Force... plus efficace encore que toutes nos concentrations.

Quand nous sommes arrivés à ce degré d'impuissance... 

Mes pratiques n'ont pas été inutiles ni sans résultats, mais mon Dieu, comme c'est laborieux : il doit y avoir des moyens plus simples !

Besoin de me tourner vers le Silence et la Paix et advienne que pourra...

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
L
Je n'ai pas encore testé de les associer dans une même recette, mais peut-être que ça donne un résultat sympa :)<br /> <br /> Selon les observations de Raymond Dextreit ce sont 5 produits clés pour la santé :<br /> <br /> https://www.argile-bienfaisante.fr/boutique/les-cinq-merveilles-naturelles/<br /> <br /> En ce moment (petit "coup de froid") je combine (3x par jour, à jeun de préférence) :<br /> - 1 cuiller a dessert de miel + 1 à 2 gouttes d'huile essentielle de thym mélangée,<br /> - jus de citron dans de l'eau, gingembre, cannelle, curcuma moulus (j'aime bien aussi faire infuser cette recette).<br /> Et je croque quelques belles carottes crues façon Bugs Bunny :)<br /> <br /> Je trouve tout cela très bon, et très bon pour favoriser "ma réparation" !<br /> <br /> Pour le clin d'oeil, Sraddhalu aussi invite à combiner moyens extérieurs choisis et approche yogique pour l'accompagnement du corps physique.<br /> <br /> Petit zoom sur le miel (paysan) :<br /> Apparemment il n'a pas les désavantages du sucre, y compris pour la santé dentaire,<br /> c'est une mine d'or pour l'organisme, parfait pour aider sa réparation,<br /> il a un fantastique pouvoir cicatrisant (un hôpital de Limoges l'utilise systématiquement)...
Répondre
Encore merci pour toutes ces précieuses informations guérissantes...
L
Bravo, ton corps fait du bon boulot !<br /> <br /> Si tu le sens là, ou sinon par la suite, tu peux vérifier que l'argile par voie interne est une amie de prédilection pour simultanément capter les toxines (qu'elles viennent de l'extérieur ou de l'intérieur) et apporter des éléments essentiels à l'organisme :)<br /> <br /> Dernier clin d'oeil "chercheurs français", Raymond Dextreit a également consacré un ouvrage à 5 merveilles de la nature : citron, ail, thym, carotte et chou.<br /> <br /> Bon courage du guerrier psychique !
Répondre
Merci pour le conseil de l'argile. Les 5 ingrédients, c'est pour une recette ?
L
PS : Je rajoute une dernière précision que je trouve importante concernant notre biologie.<br /> <br /> J'ai compris qu'elle fait tout son possible pour maintenir l'homéostasie, et donc la santé, notamment par l'évacuation des toxines par l'intermédiaire des émonctoires<br /> (les microzymas se chargent aussi de cette fonction, de ce que j'ai compris, en encapsulant les toxines, ce qui explique au passage l'origine de l'emploi du mot "virus" qui signifie poison, et non organisme envahisseur, sachant que les "virus officiels" n'ont jamais véritablement été observés à ce jour, selon différentes sources qui me semblent sérieuses).<br /> <br /> Aussi est-il, en réalité, favorable d'avoir les bronches, ou le nez, encombrés lors d'épisodes de maladie,<br /> ou de transpirer grâce à la fièvre, qui a pour fonction de favoriser les processus de réparation en donnant à l'outil corporel une température plus proche de celle des origines de la vie terrestre (selon René Quinton).
Répondre
Évacuer les toxines par les émonctoires, ça va, mon corps sait faire très bien : j'ai dû me moucher plus de 300 fois en trois jours ! ! !
L
Chouette !<br /> J'en avais oublié de te souhaiter de bien te rétablir,<br /> ces épisodes de maladie peuvent vite être impactants.<br /> <br /> Il y a un autre propos de Mère que je tiens à garder bien présent en moi, dont les grandes lignes sont de ne pas avoir peur de la maladie, et de ne pas non plus la vouloir.<br /> <br /> Il m'arrive parfois de constater une étrange ambiguïté lorsqu'un trouble se manifeste dans mon corps.<br /> Comme si une partie malicieuse de moi y trouvait un avantage.<br /> Cela correspond sans doute à ces petits serpents bien incrustés dans la matière dont parle Mère, et aux conflits explorés par Ryke Hamer, qui cherchent à perdurer et à maintenir leur emprise.<br /> Je souhaite rester attentif à ce genre de mécanisme, et y apporter réconciliation et paix.<br /> <br /> J'ai commencé à voir la vidéo diffusée samedi par Sraddhalu sur la manifestation supramentale sur Terre, et certains exemples qu'il cite montrent que le corps peut exprimer des capacités insoupçonnées par la science lorsque son logiciel mental ancestral est shunté.<br /> <br /> C'est impressionnant pour moi d'être ainsi exposé à cette observation des immenses potentiels du vivant, à cette éternité et à cette toute puissance involuées, et à ces perspectives de transformation.<br /> <br /> La devise d'Antoine Béchamp était " Rien n'est la proie de la mort, tout est la proie de la vie".<br /> <br /> Cette phrase de Mark Twain que mon beau-père citait souvent résonne fort en moi elle aussi :<br /> "Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait".<br /> <br /> Alors allons-y, "on s'embarque" :)
Répondre
Toujours aussi pertinent... avec une fin au combien réjouissante : "Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait".
L
Bonjour Pascal,<br /> <br /> Merci pour ce partage que je trouve très inspirant de tes expériences corporelles, combinées aux précieux éclairages de Mère !<br /> Je suis moi aussi en train d'en faire de différente nature, et tout cela apporte une belle eau de source à mon moulin :)<br /> Vive l'eau vive !<br /> <br /> Je retiens notamment cette phrase de Mère :<br /> "... la maladie implique quelque chose d’intérieur qui est important : une attaque, la nécessité d’une transformation, beaucoup de choses différentes),<br /> mais l’expression extérieure d’un désordre".<br /> <br /> Il y a quelques années j'ai découvert grâce à Ghis (auteure de "La mafia médicale") et Mado les observations du docteur Ryke Hamer que je continue de trouver pertinentes, ainsi que cohérentes avec celles de Mère.<br /> <br /> En synthèse :<br /> La maladie est l'expression d'un programme biologique spécial servant à assurer la survie de l'individu lors d'une situation conflictuelle.<br /> <br /> Voici également certains des points clés correspondants :<br /> - La maladie est toujours la solution parfaite pour éviter la mort.<br /> - Toutes les maladies sont psychosomatiques, elles débutent avec l'activation d'un conflit et prennent fin avec sa résolution.<br /> - La maladie est toujours déclenchée par un choc émotionnel qui affecte physiquement le cerveau.<br /> - Les maladies évoluent en 2 phases : la phase de stress froide suivie, dès la résolution du conflit, de la phase de réparation chaude (celle des symptômes).<br /> - Les microbes sont nos alliés et agissent seulement durant la phase chaude<br /> (remarque : pour moi ce point rejoint très clairement les travaux d'Antoine Béchamp sur les microzymas, constructeurs et déconstructeurs des bactéries et des cellules de l'organisme, à des fins favorables précises, selon les paramètres du moment).<br /> - Le malade consulte habituellement pendant la phase chaude (celle des symptômes), alors que le conflit est résolu et que la réparation est déjà en marche. <br /> <br /> Je ressens clairement que la démarche de la conscience (magnifiquement présentée par Mère dans les textes que tu cites ici) est évidemment au coeur de l'accompagnement de la maladie,<br /> et que les clés de lecture très détaillées fournies par Hamer (cartographie des conflits et de leur manifestation) peuvent être utiles sur le chemin à leur façon,<br /> au même titre que celles d'Antoine Béchamp, Louis Claude Vincent, René Quinton...<br /> <br /> Je trouve tout cela magnifique :)
Répondre
Merci Luc pour ton partage... toujours aussi riche.<br /> À l'époque j'ai écouté quelques vidéos de Ghis et j'ai effectué un stage... pas avec elle, avec une personne qu'elle a formé. <br /> Plus anciennement encore, j'ai lu les quelques brochures du Dr. Hammer : quelle histoire incroyable que cet homme !<br /> Un grand merci pour toutes tes précisions... qui nous sont très utiles : effectivement, tout cela est magnifique !<br /> Merci à toi<br /> Pascal<br /> Sinon... je vais mieux... mais encore à plat. Je viens de dormir une bonne heure...