Quelques confidences et quelques infos (Haarlem, bleu de méthylène, NMN...)

Conscience d'éternité

 À force de croiser de temps dans en temps dans les œuvres de Sri Aurobindo-Mère des des passages sur à la conscience d'éternité... j'en suis venu à me demander ce qui se passerait – par rapport au vieillissement – si nous entrions dans cette conscience. Et je me suis mis dans la tête que le temps n'existait pas, ou plutôt que la perception du temps que nous avons était fausse et tout en menant ma vie ordinaire, il y avait à l'arrière plan l'intention de rentrer dans cette conscience d'éternité, ou en tout cas, de me mettre en relation avec cette conscience qui n'a ni début ni fin... 

Je ne sais pas si j'y ai réussi, sans doute pas car lorsque nous y sommes, nous devons probablement vivre une expérience EXTRAORDINAIRE... 😊

Et je n'ai rien vécu d'extraordinaire, juste quelques petites choses toutes simples du quotidien. Par exemple, je voulais écrire un nouvel article sur le blog car le précédent me paraissait loin, si loin... et je l'avais écrit... la veille. Et puis, je me suis souvenu, comme un point de repère, avoir commencé à écouter François Asselineau en 2009 et je me suis replongé dans cette époque et j'ai eu la sensation de ne plus être la même personne, d'avoir profondément changé. Et puis, j'étais si plongé dans cette idée de sortir de la notion de temps habituel et d'entrer dans une conscience ou "le temps s'arrête" que lorsque mardi je suis sorti faire un tour en vélo, j'ai été très surpris de voir que c'était jour de marché : j'étais persuadé que nous étions lundi.

Bref, rien de très spectaculaire... mais des indications qui invitent à se souvenir que cette conscience d'éternité est toujours présente à l'arrière plan et que ce n'est pas si difficile de s'y plonger, ou de s'y relier... et advienne que pourra.   

Gazette N°9

Cette conscience d'éternité a sans doute quelque chose à voir avec le changement de rythme dont Mère a parlé dans l'Agenda. 

Le rythme est le thème choisi pour la dernière Gazette... nous y trouverons sans doute beaucoup de choses très intéressantes. 

De la routine à la discipline

Un jour, une amie formée en soins ayurvédiques et aux bols tibétains m'a placé un bol sur la tête alors que j'étais assis en tailleur et m'a demandé de faire le OM sur la même note que le bol qu'elle était en train de faire vibrer. Cela n'a pas été une mince affaire...😊 et au moment précis où je trouvais le ton juste, ma colonne vertébrale s'est instantanément redressé avec une sensation d'alignement vers le haut...  

On peut sans doute faire beaucoup de choses avec ces bols... 

Un matin de la semaine dernière il m'est venu de faire vibrer mon bol en faisant le OM avec l'intention que la vibration du son se propage... sur toute la terre. 

Comme je m'étais mis dans une sorte d'état d'esprit qui annule la notion de temps, cette fois-ci, je me suis placé dans l'idée d'annuler la notion d'espace. Ou plutôt, disons que j'étais dans cette idée que nous ne pouvons pas savoir où la vibration s'arrête. Ce n'est pas parce que nous n'entendons plus le son ne continue pas encore. Et jusqu'où va l'onde sonore ? Comment savoir ?

À vrai dire... c'était la semaine dernière... et je ne sais plus trop comment cela s'est passé mais j'étais dans une concentration intérieure très tranquille, très silencieuse... et c'était très vivant : que le son du bol répande sur la terre, sa belle vibration de paix, d'harmonie...

J'ai sans doute été influencé par un passage d'Essai sur la Guîtâ qui expliquait que tout était le Brahman... le son aussi, c'était le Brahman. Il est l'origine de tous les sons. Alors je faisais vibrer le bol avec cette conscience que le son, c'était la vibration du Brahman qui se répandait. Et moi, j'essayais d'être aussi impersonnel que possible...

C'était une très belle expérience, alors je l'ai recommencé le lendemain, et puis le surlendemain...

Et à ma grande surprise, la magie n'y était plus, ça commençait à me gonfler... et puis les jours suivants, j'ai complètement oublié.

Mais le phénomène m'a intéressé, aussi bien dans son aspect positif que négatif.

Quand les choses deviennent "obligatoires", qu'elles sont faites par "devoir"... même les plus belles choses, ça ne marche plus. La première expérience était tout à fait spontanée, et en ce sens, elle devait être sincère. 

Alors il m'est venu ce titre : de la routine à la discipline. Je ne sais pas... je ne comprends pas encore très bien ce qui s'articule, ou ne s'articule pas, avec tout ça. Mais j'ai trouvé intéressant de constater que quelque chose de très agréable, de très vivant, plein de sens, pouvait devenir quelques jours plus tard tout à fait désagréable. Pourtant c'était la même chose, à peu près à la même heure, avec les mêmes gestes... 

Mère a parlé de cela quelque part, mais à titre personnel je n'ai aucun souvenir que cela me soit jamais arrivé d'une façon si claire... jusqu'à cette fois. 

Douleurs en bas du dos

Ce problème revient de temps, parfois avec une certaine insistance. Il y a bien quelques exercices de yoga, de qi gong ou d'autres disciplines enseignés sur YouTube... mais qu'est-ce que c'est ennuyeux !  😊  Quelle corvée !

Deux expériences sont venues.... qui n'en font peut-être qu'une.

Assis dans mon lit pour continuer ma lecture d'Essai sur la Guîtâ... ça c'est autrement plus intéressant... et aussitôt la douleur se signale. Alors aussitôt, il y a eu un mouvement intérieur à partir du centre de la poitrine... et la douleur s'est arrêté. C'était si rapide que je n'ai pas eu le temps de bien observer. C'est comme si, à partir du centre de la tête il y avait eu un ordre de chasser cette douleur, et que quelque chose au centre de la poitrine s'était mis à regarder car il y avait une sensation subtile dans le corps qui ressemblait à projeter une force, une lumière... 

Mais le regard est un toucher...

Cela ressemble à ce que Sri Aurobindo explique à propos du Pourousha qui refuse de donner son consentement. 

Peut-être que l'ordre donné était : "Ah non ! Je veux pouvoir lire tranquillement, je ne veux pas qu'on me dérange pas !" Alors la douleur a été obligée de décamper.

Mais la douleur s'est bien vengée et le lendemain, elle avait redoublé de vivacité.

Je ne m'en suis pas trop occupé, ne sachant pas quoi faire... d'autant que les quelques exercices physiques, énergétiques que je connais semblaient amplifier le problème. Il y a ces douleurs qui sont soulagées par le toucher et ces douleurs qui ne veulent pas qu'on les touche. 

Parallèlement à cela je joue à faire le miroir comme le propose Mère dans l'article sur comment développer son intuition... pour voir si je reçois une réponse à ma question : qu'est-ce que je peux faire.

Lien vers l'article

Et puis quelques heures plus tard, influencé par une vidéo où Sraddhalu explique qu'il est préférable d'être doux, de ne pas maltraiter son corps, de ne pas être trop dur, etc... lorsque je me suis couché, j'ai posé mes mains sur mon ventre, le nombril avec l'idée de... ressentir mon vital.

C'est drôle, j'ai fais des années de qi gong... le qi, c'est le souffle, c'est l'énergie vitale... et je ne connais pas vraiment mon vital. En médecine chinoise, on dit que la douleur est toujours un signe de stagnation d'énergie ou de stagnation de sang. 

Alors j'étais là, tranquille, en mode intériorisation, à observer et ressentir à partir du centre de la poitrine tout ce qu'il y avait sous les mains. C'était il y a quelque jours, je ne me souviens plus, mais il s'est passé un monde de choses, avec beaucoup de sensations de gargouillis, accompagnés de grands soupirs de soulagement... 

C'était comme si le cœur observait avec douceur, tendresse, compassion, tout ce qu'il y avait sous les mains, ou en tout cas, une acceptation tout à fait neutre, bienveillante, sans aucun jugement... alors toutes sortes de choses s'éveillaient, se mettaient en mouvement...  

Quand c'est le mental qui regarde... c'est comme si on était sans arrêt à deux doigts de recevoir une paire de claques. Surtout si ce mental a été éduqué pour essayer de se contrôler, de se maîtriser... Si nous apprenions a regarder les choses à partir du psychique... beaucoup de choses changeraient, et en douceur. Oh ! Une telle douceur que cela donnerait presque envie de pleurer...  

Et le lendemain et les jours suivants, toute trace de douleur a disparu. Elle commence seulement à revenir un tout petit peu... comme de très loin. Peut-être comme un souvenir dirait Mère... 

Ce fut très efficace, à peine une vingtaine de minutes, en moins laborieux que des pratiques et des pratiques et des pratiques... 

J'ai trouvé l'expérience très intéressante car c'est une expérience de guérison intérieure sans aucune méthode extérieure. 

En fait, quand on commence à comprendre "le truc", c'est facile, mais jusque là, ce n'est pas si facile... 

Recevoir Sa guérison

Je me souviens avoir partagé le sentiment que quelque soit notre difficulté intérieure, la seule solution, c'était le Divin. Un problème de compréhension, de connaissance : il peut nous la donner. Un problème sentimental, affectif, une angoisse : il peut nous consoler, nous apaiser. Un problème de tension, de santé... : il peut nous guérir. Il peut tout faire.

Mais en même temps que cette foi grandissait en moi, il y avait cette question : si le Divin me donnait la guérison, est-ce que je serais capable de la recevoir ?

J'ai trouvé la question intéressante...

Et c'était accompagné... presque d'une injonction : si tu penses que le Divin est la solution pour toutes tes difficultés intérieures, au lieu de le dire, de le penser, de le croire, réalise-le... 

C'est tellement facile de dire... 

Huile de Haarlem

1. Une amie, infirmière à la retraite, bhakta de Sri Aurobindo-Mère m'a raconté avoir essayé beaucoup de choses pour faire face à des douleurs très handicapantes au métacarpien, avec des succès très mitigés. Et puis elle a observé une amélioration très sensible avec des comprimés d'Huile de Haarlem. 

Nutrition cellulaire

Mon ami Mitra nous invite à regarder une petite partie du direct d'Alexis Cossette du 31 août (de 43 mn 20 à 1h 00 mn) où il parle de la régénération cellulaire, du bleu de méthylène,  du NMN, etc.

Au début de son intervention il explique que les mitochondries sont comme des petites batteries à l'intérieur des cellules et que ces produits de nutrition cellulaire servent à stimuler les mitochondries. Pourrions-nous le faire à l'aide de la conscience ? 

Par rapport aux produits que présente Alexis, j'ai pu en retrouver quelques sites où nous pouvons trouver quelques produits qu'il présente. Ces sites sont anglophones... si vous avez quelques sites francophones ou européens à conseiller... merci de les partager. 

🙏  

Renue by science

Regenurex

Naked Nutrition

Medik 8