Comment nous libérer de Macron et de la caste ?! (6)

L'idée que cette caste au pouvoir représente le mal est très largement partagée. Les articles précédents ont donc beaucoup été consacrés à essayer de mieux comprendre la véritable nature du mal et par conséquence, les véritables remèdes.  Il convient maintenant de voir si nous trouvons dans les œuvres de Sri Aurobindo et de Mère des indications pour des moyens plus pratiques. 

Reprenons encore une fois cette citation de Mère du 3 août 1968 : 

"Depuis des millénaires, nous avons développé des moyens extérieurs, des instruments extérieurs, des techniques de vivre extérieures – et finalement ces moyens et ces techniques nous écrasent. Le signe de l'humanité nouvelle est un renversement de point de vue et la compréhension que les moyens intérieurs, la connaissance intérieure et la technique intérieure peuvent changer le monde et le maîtriser sans l'écraser."

1.La Puissance d'un nombre immobile

Pour commencer, regardons ce que Mère a pu dire, le 22 mai 1968 à l'occasion des grèves de 1968.

Question de Satprem :

Douce Mère, et ce qui se passe en France en ce moment, qu'est-ce que cela veut dire (1) ?

1. Une sorte de grève générale de quelque huit millions d'individus, qui a commencé par une révolte des étudiants et l'occupation de la Sorbonne.

Réponse de Mère :

C'est clairement l'avenir qui s'éveille et qui veut chasser le passé.

Tu as lu les lettres des enfants de S ? Ils sont là-bas. Par exemple, tous les étudiants et toute la classe ouvrière se sont unis. Il y a naturellement, mentalement, tout le mélange de toutes sortes d'idées, mais la Force derrière... Par exemple, les étudiants veulent changer complètement le mode d'instruction : ils réclament violemment la suppression de tous les examens. Et ils ne le savent pas eux-mêmes, mais ils sont poussés par une force qui veut la manifestation d'une vérité plus vraie.

Eux-mêmes ne voudraient pas de violence – il paraît que ce ne sont pas eux qui ont commencé la violence, mais la police. Et ça, c'est très intéressant, parce que la police représente la défense du passé. Et quand j'ai lu les lettres de ces enfants, puisque l'on m'a donné les nouvelles, alors est venu en moi (cela a été dit très-très clairement, une vision très claire) : l'avenir.

C'est la Puissance supérieure qui contraint les gens à faire ce qu'ils doivent faire. Entre maintenant et ça (qui est très en avant), ce doit être la puissance d'un nombre immobile. Et alors la vision était claire : si des millions – pas des milliers : des millions – de gens s'assemblent, occupent, absolument pacifiques (simplement s'assemblent et occupent, avec des représentants naturellement qui diront ce qu'ils veulent), alors ça aura le pouvoir. Mais il ne faut pas de violence ; dès que l'on se laisse aller à la violence, c'est le retour au passé, c'est l'ouverture à tous les conflits...

À ce moment-là, je ne savais pas que c'était la police qui avait commencé la violence ; je ne savais pas, je ne connaissais pas les détails de l'histoire. Mais c'était une vision très claire : une occupation par la masse, mais une masse toute-puissante dans son immobilité, qui impose sa volonté par le nombre, avec des représentants intellectuels pour les négociations.

Je ne sais pas... De Gaulle est ouvert à quelque chose de plus que la force purement matérielle. Est-il de taille ? Je ne sais pas. Mais en tout cas, il est parmi les meilleurs instruments.

C'est clairement (pas dans le détail, mais dans la direction du mouvement), c'est clairement la volonté d'en avoir fini du passé, de laisser la porte à l'avenir.

C'est comme une sorte d'écœurement de la stagnation. Voilà. Soif de quelque chose qui est en avant, qui paraît plus lumineux et meilleur. Et en effet, il Y A quelque chose – ce n'est pas seulement une imagination : il Y A quelque chose. C'est cela, la beauté, c'est qu'IL Y A quelque chose. Il Y A une Réponse. Il Y A une Force qui veut... qui veut s'exprimer.

La France est dans une situation privilégiée : l'Inde d'abord, la France après, pour des raisons... simplement de réceptivité. La France a toujours essayé d'être en avant – c'est d'ailleurs pour cela que ce corps est né là.

(silence)

Les journaux parlent d'une grève de plusieurs millions là-bas (ces enfants ont écrit). Ça n'a pas du tout le caractère d'une grève, ça a le caractère d'une révolution.

Je connais cela. Je ne sais pas si je te l'ai jamais dit, mais il y a eu – il y a toujours eu – identification de la conscience de ce corps avec tous les mouvements de révolution. Je les ai toujours connus et guidés avant même que les nouvelles ne viennent : en Russie, en Italie, en Espagne et ailleurs – toujours, partout –, et c'était essentiellement, toujours, cette même Force qui veut hâter la venue de l'avenir – toujours –, mais qui est obligée d'adapter ses moyens d'action suivant l'état dans lequel se trouve la masse.

Et maintenant, justement, il semblerait que l'état de la terre soit tel que tout au moins se prépare (si ce n'est pas encore comme cela), se prépare la manifestation de la masse dans une espèce de volonté silencieuse et immobile...

Et ça, c'est une période intermédiaire pour arriver à l'état où cette masse sera tenue sous contrôle et mise en mouvement directement par la Puissance d'en haut.

C'est vers cela que l'on marche.

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Laissons de côté l'analyse politique traditionnelle d'un mai 68, première révolution de couleur organisée par la CIA pour nuire à de Gaulle, dont on apprend au passage qu'il était un instrument du Divin, pour nous concentrer sur les informations essentielles laissées par Mère. Il est question de la puissance d'un nombre immobile, de millions de gens [qui] s'assemblent, occupent, absolument pacifiques, d'une une masse toute-puissante dans son immobilité, qui impose sa volonté par le nombre, d'une espèce de volonté silencieuse et immobile...

Première remarque à propos de la puissance du silence :

Nous avons tous fait l'expérience que collectivement, une minute de silence, pour les gens, en général, c'est déjà trop fort : certains se mettent à pouffer, d'autres à se dandiner sur place, ou à chuchoter avec leurs voisins et beaucoup en ce monde sont incapables de supporter le silence, tout le temps il faut qu'il y ait un bruit de fond, de la musique, la télévision, la radio...

Il s'agit de mai 68, d'un événement politique, nous ne sommes pas dans une retraite spirituelle et pourtant Mère fait mention d'une espèce de volonté silencieuse et immobile...

Deuxième remarque à propos de l'immobilité :

Si à trois reprises, la Mère fait mention de l'immobilité, c'est que l'immobilité est un élément dont nous ne comprenons pas l'importance. Intérieurement, dans notre conscience habituelle, nous sommes encore très agités et c'est un va-et-vient continu de pensées, d'émotions et de sensations. Or, quand tout dans notre nature commence à se poser, à se décanter, à s'immobiliser, alors nous pouvons faire l'expérience d'une grande stabilité, d'une grande force. C'est le premier stade, très simple à découvrir.

Mais l'immobilité est beaucoup plus que cela et pendant les 23 ans d'expériences de Mère de 1950 à 1973 racontée dans les 13 volumes et 6000 pages de l'Agenda, la présence de l'immobilité fut très souvent une base nécessaire pour une expérience plus élevée, plus forte, plus intense. 

Nous ne savons pas encore la puissance qui peut se cacher dans l'immobilité. Ce n'est même pas nécessairement une immobilité extérieure, car il s'agit tout de même de manifester, donc de marcher, au moins jusqu'au lieu d'un éventuel sit-in, mais d'une immobilité intérieure, comme une super méga tranquillité silencieuse qu'absolument rien ne peut venir troubler ou déranger.

Troisième remarque à propos des manifestations que nous connaissons :

Pour l'instant, lorsque nous participons à une manifestation, il y  a des tambours et des slogans, des discours enflammés pour enthousiasmer la foule, etc... Tout cela est le signe évident du vital. Or, la force vitale n'est pas le vrai pouvoir capable de dominer cette caste malveillante. Une masse immobile et silencieuse aurait le pouvoir d'attirer une force spirituelle, et c'est une force tout à fait différente : alors ça aura le pouvoir nous dit Mère, parce que la force d'en haut sera de nature spirituelle et non vitale.

Tout cela est pour moi absolument évident et depuis 20 ans sur différents réseaux sociaux, dans mes blogs précédents j'ai quelques fois essayé d'expliquer ce qui pour moi est si évident, que l'aspiration d'un nombre immobile aurait le pouvoir de faire descendre la force nécessaire.

Hélas, je n'ai jamais réussi à me faire comprendre et, à vrai dire, je ne vois aucun signe qu'une masse humaine puisse comprendre et mettre cela en pratique cette méthode de "manifestation spirituelle". Nous ne sommes pas encore assez évolués collectivement pour comprendre l'importance de cette sorte d'immobilité, qui n'est pas du tout de l'inertie. Méditions encore le sujet, et en attendant, voyons donc un autre moyen d'action, plus abordable. Dans l'Entretien du 6 août 1958, il est question de la prière collective.

2. La prière collective

Douce Mère, quel est l’effet et la valeur d’une prière collective ?

Il y a d’ailleurs différents genres de prières collectives, comme il y a différents genres de collectivités. Il y a la masse anonyme, la foule, qui s’est formée au hasard d’une circonstance, sans coordination intérieure, poussée par la force d’une circonstance, comme par exemple quand un souverain ou un personnage qui attire l’attention de la masse se trouve dans une situation critique, malade ou victime d’un accident, et que la population s’est assemblée pour avoir des nouvelles et aussi pour exprimer son sentiment ; et c’est au hasard des circonstances que les individus sont assemblés là, c’est-à-dire qu’il n’y a aucun lien intérieur excepté celui de la même émotion ou du même intérêt. On a eu l’exemple de foules qui spontanément se mettaient en prière pour obtenir la guérison de quelqu’un qui les intéressait tout particulièrement. Naturellement, ces mêmes foules peuvent s’assembler dans un but opposé, un but de haine, et leurs cris sont aussi une sorte de prière, une prière aux forces adverses et destructrices.

Ces mouvements-là sont des mouvements spontanés, pas organisés, inattendus.

Il y a la collectivité d’un ensemble d’individus qui se sont groupés autour d’un idéal, ou d’un enseignement ou d’une action qu’ils veulent accomplir, et qui ont un lien organisateur entre eux, le lien du même but, de la même volonté et de la même foi. Ceux-là peuvent s’assembler d’une façon méthodique pour pratiquer en commun la prière ou la méditation, et si leur but est élevé, leur organisation bien faite, leur idéal puissant, ces groupes peuvent avoir, par leurs prières ou par leurs méditations, un effet considérable sur les événements du monde, ou sur leur propre développement intérieur et sur leur progrès collectif. Ces groupes-là sont nécessairement très supérieurs aux autres, mais ils n’ont pas cette aveugle puissance qu’ont les foules, l’action collective des foules. Ils remplacent cette véhémence, cette intensité, par la puissance d’une organisation voulue et consciente.

De tout temps, il y a eu sur terre des groupes qui s’organisaient ainsi. Quelques-uns ont eu une vie historique, une action historique dans le monde, mais généralement ils n’ont pas eu plus de succès avec la foule, la masse, que n’en ont eu les individus exceptionnels. Ils ont toujours été suspects et soumis à des attaques, à des persécutions, et souvent aussi ils ont été dissous d’une façon brutale et très obscure, très ignorante... Il y a eu de ces groupes, mi-religieux mi-chevaleresques, qui, rassemblés autour d’une croyance, ou plutôt d’un credo, avec un but défini, ont eu une histoire très intéressante dans le monde. Et certainement, ils ont fait beaucoup pour le progrès collectif par leur effort individuel.

Il y a une organisation idéale qui, si elle était menée à bien totalement, pourrait créer une sorte d’unité très puissante, composée d’éléments ayant tous le même but et la même volonté et suffisamment développés intérieurement pour pouvoir donner un corps très cohérent à une unité intérieure de but, de mobile, d’aspiration et d’action.

De tout temps, les centres initiatiques ont essayé cela, d’une façon plus ou moins heureuse, et toujours il en est question dans toutes les traditions occultes comme d’un moyen d’action extrêmement puissant.

Si l’unité collective pouvait arriver à la même cohésion que celle de l’unité individuelle, elle multiplierait la puissance et l’action de l’individu.

D’habitude, si l’on met ensemble plusieurs individus, la valeur collective du groupe est très inférieure à la valeur individuelle de chacun pris en particulier, mais avec une organisation suffisamment consciente et coordonnée, on pourrait au contraire multiplier la puissance de l’action individuelle.

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3. La prière individuelle de la manifestation divine sur la terre

Si des petits groupes pouvaient se réunir pour des prières collectives, assurément cela aurait des effets bénéfiques pour l'ensemble. Examinons maintenant une prière individuelle proposée par Mère.

Commençons par un point de vocabulaire entre les mots "descente" et "manifestation". Quand nous prions ou méditons, parfois nous pouvons avoir la sensation de recevoir d'en haut une énergie, une force, une paix, une lumière, une réponse... Cette "descente" est un phénomène personnel, individuel. Par contre, quand le phénomène s'élargit et englobe tout un groupe, toute une zone, une région, un pays, qu'il devient un phénomène général, voir universel, ce n'est plus une "descente" mais une "manifestation".

La grande prière de la manifestation divine pour la Terre est à ce propos magnifique.

Om, Seigneur Suprême, Dieu de bonté et de miséricorde
Om, Seigneur Suprême, Dieu d’amour et de félicité

Om, Seigneur Suprême, manifeste Ta Volonté
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ta Vérité
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ta Pureté
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ta Perfection
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ton Unité
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ton Éternité
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ton Infinité
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ton Immortalité
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ton Silence
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ta Paix
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ton Existence
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ta Conscience
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ta Toute-Puissance
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ta Félicité
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ta Connaissance
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ton Omniscience
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ta Sagesse
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ton Égalité
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ton Intensité
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ta Lumière
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ton Harmonie
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ta Compassion
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ta Beauté
Om, Seigneur Suprême, manifeste Ton Amour
Om, Seigneur Suprême, remporte Ta Victoire.

Gloire à Toi, Seigneur triomphateur suprême (X12)

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La prière peut être faite une fois ou plusieurs fois de suite, à voix haute, à voix basse ou intérieurement ; de même elle peut s'effectuer allongé, assis, debout, en marchant afin de lui donner une base plus dynamique et inclure dans le mouvement de prière toutes nos énergies. Il est possible aussi de la faire pendant nos activités quotidiennes ou de l'écrire. Nous pouvons l'adresser au Divin présent au plus intime de nous-même, dans le sanctuaire secret de notre cœur, pour reprendre une expression de Sri Aurobindo, ou pour être plus précis, prier à partir des profondeurs de notre cœur, comme si c'était le Divin immanent présent en nous qui priait le Divin universel, transcendant et suprême. Expérimenter différentes façons de faire permet de trouver celle qui nous convient le mieux. Une dernière chose encore. Le fait de prier peut parfois amener un sentiment d’enthousiasme, d'exaltation... il me semble que plus nous restons calme, tranquille, voir impersonnel, mieux c'est, mais je me trompe peut-être.

En tout cas, il va de soi que si le Divin manifestait Ses qualités sur la terre, les différentes castes au pouvoir ne pourraient pas rester. Mais comme le dit Satprem avec un extraordinaire bon sens : si nous voulons que quelque chose se manifeste, encore faut-il y aspirer. Mais collectivement, nous ne connaissons pas encore le pouvoir de l'aspiration vraie.

Ou bien, comme il est dit dans les Évangiles demandez et vous recevrez. Si nous ne demandons pas, si nous ne prions pas pour que le Divin se manifeste, alors il restera caché et continuera d'agir dans l'ombre, et non pas dans Sa pleine lumière, en pleine conscience, avec son plein pouvoir...

Cette prière est très intéressante parce qu'elle dépasse et transcende complètement notre ego personnel, et même nos proches, et nos intérêts personnels, elle concerne la Terre et l'humanité tout entière.

Si nous étions plus nombreux à utiliser régulièrement cette prière, cela pourrait peut-être hâter la venue de ce nouveau monde, plus harmonieux et plus vrai.

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4. La vérité, la beauté et le sacré

Il est un autre moyen spirituel de lutte jamais évoqué clairement.

Lorsque nous regardons la caste au pouvoir, nous constatons aisément une utilisation massive du mensonge, une culture de la laideur et que plus rien ne semble sacré.

Or, en Inde, il est dit que les trois nourritures principales pour nourrir notre âme, la faire croître, grandir, émerger des profondeurs... sont la vérité, le sens de la beauté et le goût du sacré.

Sur chacun de ces trois aspects, nous pouvons augmenter notre niveau d'exigence et nous montrer très scrupuleux : est-ce que mes pensées, mes paroles, mes sentiments, mes actions sont vraiment en accord avec ce que je sens comme vrai ? Est-ce que cela respecte mon sens de la beauté et du sacré ?

Si déjà nous nous corrigeons nous-mêmes, l'emprise diabolique de la caste sur l'humanité serait moins forte. Hélas, en général, nous sommes encore assez complaisants avec les petits mensonges du quotidiens, les petites distorsions de la vérité. Certes, ce ne sont que de toutes petites faussetés, mais multipliées par des dizaines de millions de personnes, tous les jours... comment peut-on imaginer que cela soit conséquence pour la conscience collective ?  

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En conclusion

Comment nous libérer de Macron et de la Caste ? Dans les six articles précédents nous avons partagés des réponses qui ne se trouvent sans doute nulle par ailleurs que dans les œuvres de Sri Aurobindo et Mère. Il reste cependant un autre aspect de la question. Cette question est-elle légitime ? Est-ce vraiment là que nous devons mettre nos efforts ? C'est ce que nous verrons dans notre dernier article.